Brusquement l’heure
du départ s’approche comme surgissant des profondeurs du temps, un temps plutôt
court puisqu’il s’inscrit à l’échelle de l’an. Qui peut dire pourquoi, le
ventre serré, nous lâchons une larme de tristesse alors que tout laisse porter
à croire que nous sommes heureux ! Serait-ce une bizarre illusion
qu’entretiennent les " Bonjours " et les " Au Revoir "
lorsqu’ils se croisent ? Une antinomie qu'entretiendrait
l’enthousiasme d’un commencement face à la mélancolie d’une fin ? Allez savoir pourquoi !
Dans sa chanson " If I could be
where you are " … " Si je pouvais être où vous êtes " la chanteuse Enya dit
: " Who can say where the road goes ? Where the day flows ? Only
time ! " … "Qui peut dire où la route va ! Où s’écoule le jour ?
Seul le temps ! " À cet instant-ci, je me dis que le temps imprime nos
pas qui décomptent en lui le rythme de nos gestes. Et il me plaît à l’idée de
conserver la cadence !
" La vie c’est
des étapes … La plus douce c’est l’amour … La plus dure c’est la séparation …
La plus pénible c’est les adieux … La plus belle c’est les retrouvailles.
" Je ne peux vous dire ici qui a formulé cette citation, toutefois je vous
la livre telle quelle et sans ambages. Avec Ecoles de la Terre j’ai toujours pu
vivre la plus belle des étapes, celle des retrouvailles, et ce depuis bien des
années ; bientôt 20 ans ! Les rencontres renouvelées avec les enfants
d’Ecoles de la Terre sont l’expression même du soutien que nous voulons
apporter aux enfants afin qu’ils puissent faire valoir leurs droits à l’éducation
et à la santé ! Je leur dis donc " à la prochaine " !
Et je garde la
cadence à la seule pensée de vivre ces prochaines retrouvailles. Mais d'ici là, je vous aurai fait part de plein d'informations sur les programmes d'Ecoles de la Terre. Je vous
souhaite un merveilleux printemps ! ! Amitiés à Vous Toutes et à
Tous !
Martial Salamolard
pour ECOLES DE LA TERRE
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